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OMPASSION

VIP-Blog de ompassion
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  • Créé le : 02/04/2006 13:42
    Modifié : 18/05/2006 22:37

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    Coupe de France

    12/04/2006 08:07



    1/4 de finale O.Lyon - O.Marseille: 1-2
     
    Le très gros coup de l'OM 

    Le très gros coup de l'OM

     

    Auteur d'un match plein, l'Olympique de Marseille s'est imposé à Lyon (1-2) en quart de finale de la Coupe de France et jouera sa première demie depuis dix ans. Une semaine jour pour jour après Milan, l'OL subit une nouvelle désillusion et se consolera avec un 5e titre d'affilée en championnat.

    LYON - MARSEILLE : 1-2
    Buts : Fred (22e) pour Lyon, Maoulida (17e) et Niang (65e) pour Marseille

    Première période : L'OL réactif

    L'OL n'ira pas au Stade de France. Une semaine après être tombé à Milan en quarts de la Ligue des Champions, les Rhodaniens ont chuté à deux marches du SDF via la Coupe de France. La faute à un OM de gala. Sérieux, appliqué et plus réaliste qu'une formation lyonnaise qui termine la saison sur les rotules. Devenue un objectif prioritaire en cette fin de saison, la Coupe de France avait pourtant mobilisé toutes les forces en présence du côté des Gones. Et c'est avec son meilleur onze actuel que Gérard Houllier lance ses troupes. Des troupes qui étouffent celles de Jean Fernandez lors des premières minutes. Mais seul un coup franc de Juninho résonne comme une alerte (6e).

    Une première alerte bien mièvre et qui permet à l'OM de se remettre dans le droit chemin. Le bon. Bien organisé, l'OM se reprend et trouve souvent Maoulida et Niang. Postés respectivement à droite et à gauche, les deux hommes passent dans le dos d'Abidal et Réveillère. Inspirés sur les côtés, les deux hommes vont l'être dans l'axe. A la suite d'un corner repoussé, les deux hommes sont à la retombée d'une chandelle. En position de hors-jeu, Mamadou Niang revient sans se soucier du ballon. L'OL s'arrête, Maoulida nullement. A raison puisqu'il ouvre le score du gauche (0-1, 17e).

    Une nouvelle fois mené, Lyon ne va pas tarder à réagir. Comme la semaine passée à Milan, le leader de la Ligue 1 ne s'énerve pas. Tiago (19e) et Fred (20e) chauffent les gants de Fabien Barthez. Un Barthez bien impuissant sur la tentative suivante de l'attaquant brésilien. A la retombée d'un corner de Juninho et complètement oublié par Civelli et compagnie, le buteur aux cheveux désormais courts égalise (1-1, 22e). Un partout, balle au centre. La suite de la première période est équilibrée. Et si les occasions sont plutôt lyonnaises et signées Wiltord (34e, 45e), les Olympiens sont plus qu'un simple sparring-partner.

    Seconde période : Niang se paie l'OL

    Au retour des vestiaires, l'OL reprend le match en main. Comme en début de rencontre, les triples quarts de finalistes de la Ligue des Champions tiennent le cuir mais s'en servent rarement avec bonheur. Et c'est sur un coup franc dévié de Juninho que Barthez doit s'employer une première fois en seconde période (54e). Devant les yeux de Raymond Domenech, le champion du monde 1998 réussit un match impeccable alors que Grégory Coupet est un peu moins irréprochable qu'à l'accoutumée.

    Le portier des Bleus juge mal une trajectoire et saisit un ballon avec les mains hors de sa surface. Mais il n'est pas sanctionné par l'arbitre (57e). Sa seconde erreur de jugement est fatale aux Lyonnais. Sur un débordement superbe de Franck Ribéry, Mamadou Niang, à la lutte avec Anthony Réveillère dans la surface, parvient à récupérer le cuir. A bout portant et face à un Coupet passif, le Marseillais double la mise (1-2, 65e). Les Olympiens reprennent les devants. Pour ne plus les lâcher.

    La pression de l'OL est brouillonne. Sylvain Wiltord est à l'arrivée d'une-deux avec Florent Malouda. Mais sa frappe n'est pas cadrée (76e). Tout comme celle de Sydney Govou. Entré en jeu, l'international se trouve en position favorable à la suite d'un arrêt réflexe de Barthez mais, à l'image de ses coéquipiers, manque de réussite (93e). Même s'ils terminent à dix après l'expulsion tardive de Taiwo (92e), les hommes de Jean Fernandez tiennent et se qualifient pour leur première demi-finale de Coupe de France depuis dix ans. Le Stade de France n'est plus qu'à une marche. Ce même Stade de France qui se sera refusé deux fois à Lyon cette saison.

    LA DECLA : Jean Fernandez (entraîneur de Marseille)

    "Je suis satisfait du résultat et de la manière contre une bonne équipe de Lyon que nous savions très motivée. Nous savions que nous jouions contre un adversaire déterminé. C'était quasiment un match de Ligue des Champions. Nous avons eu le mérite de marquer très vite. Ensuite nous avons manqué d'agressivité et l'OL a égalisé sur phase arrêtée. Après la mi-temps, nous étions mieux positionnés et nous nous sommes montrés plus agressifs. A 2-1, nous avons bien défendu et on s'est bien accroché sur quelques situations. Nous avons eu un peu de réussite mais cela fait partie du jeu. Il faut tirer un grand coup de chapeau aux joueurs de l'OM".


     

    Maoulida avait mis l'OM sur la bonne voie grâce à son but à la 17e minute  (Panoramic)

    L’OM brise le rêve lyonnais

    Lyon ne verra pas le Stade de France. L’OL s’est fait surprendre sur sa pelouse par une équipe de Marseille qui a créé l'exploit tout en méritant largement son succès (1-2). Une nouvelle fois, les Lyonnais quittent une coupe au stade des quarts de finale et voient leur rêve de doublé s’envoler.

    Par Florian Egly

    Faute de pouvoir voir le Stade de France par le biais de la Ligue des Champions, Lyon avait la ferme intention de se diriger tout de même vers l’enceinte dionysienne par le chemin détourné de la Coupe de France. Un 5e titre de champion de France presque en poche, le président Aulas avait ordonné à ses joueurs de réaliser le premier doublé coupe-championnat du club, dix ans après celui d’Auxerre en 1996, dernier en date pour une équipe française. Pour cela, il fallait d’abord se débarrasser de Marseille en quarts de finale. Préparée comme un match de Ligue des Champions, cette partie voyait le retour de Wiltord, Juninho et Diarra, laissés au repos contre Nice.

    La réponse lyonnaise
    Du côté de l’OM, on n’avait pas vraiment envie de servir de défouloir à des Lyonnais frustrés par leur échec contre Milan. Surtout que les joueurs de Jean Fernandez, légèrement distancés en championnat après leur revers à Monaco, n’étaient pas du tout assurés d’arracher une place pour l’Europe. Les Olympiens venaient donc avec des intentions offensives, signifiées par la titularisation du trio Niang-Pagis-Maoulida. Ceux-ci s’appliquaient surtout en début de match à assurer leurs arrières dans leurs cinquante mètres avant d’attendre le contre. Cela fonctionnait plutôt bien jusqu’à un coup-franc de Juninho de trente mètres dans l’axe qui passait à côté (6e) puis une frappe trop molle de Fred (8e). Marseille misait beaucoup sur la vitesse de ses ailiers pour pénétrer dans le camp lyonnais et cela payait puisqu’après un corner obtenu par Maoulida, celui-ci, étrangement seul, récupérait la balle sur une longue louche de Taiwo tapée dans le dos de la défense puis trompait Coupet de près (0-1, 17e).

    Une ouverture du score ni franchement imméritée ni totalement logique mais qui avait le don, et le malheur pour l’OM, de sonner le réveil lyonnais. Tiago d’abord obligeait Barthez à dévier difficilement la balle en corner (18e) puis Fred sollicitait encore le gardien international (20e). La troisième opportunité était la bonne. Suite à un corner de Juninho, l’attaquant brésilien, esseulé au deuxième poteau, plaçait la balle au fond des filets du plat du pied (1-1, 22e). Pour la troisième fois cette saison, Marseille n’avait pas su conserver son avantage face à Lyon. Une moitié de la mission atteinte, Lyon desserrait légèrement son étreinte. Juninho ne trouvait toujours pas le cadre sur un coup-franc très bien placé (30e) et Marseille sortait peu à peu. Juste avant la pause, Wiltord lançait toutefois un petit rappel sur une frappe légèrement déviée qui roulait juste à côté du montant (45e).

    Du grand Ribéry
    La deuxième période démarrait avec une chose qu’on avait alors assez peu vue : un combat intense au milieu de terrain avec de nombreux duels. Inévitablement, le jeu en pâtissait et il fallait patienter une bonne dizaine de minutes pour assister à une occasion de but. Fred était un poil trop court sur un centre de Malouda (57e), lequel tirait ensuite dans les bras de Barthez (58e). Mais la domination était partagée et Marseille se montrait dangereux avec un centre en retrait de Ribéry pour Lamouchi, qui enlevait trop sa frappe (63e). Un petit avertissement qui se transformait en but dans la minute suivante avec un nouveau centre magnifique de Ribéry pour Niang qui, en duel avec Réveillère, récupérait finalement la balle avec un peu de réussite et trompait Coupet, un peu court et surpris (1-2, 64e). Comme en première période, on ne pouvait pas dire que cet avantage était scandaleux.

    Ni dominateur ni dominé, Marseille jouait bien le coup, verrouillant le milieu de terrain et n’hésitant pas à porter le danger avec notamment un Franck Ribéry très en jambes, peut-être motivé par la présence de Raymond Domenech dans les tribunes. Marseille avait cependant en mémoire la réaction lyonnaise de la première période et Tiago venait le lui rappeler au cas où, avec une frappe juste à côté (66e). Toutefois, Lyon n’avait pas la fluidité des mouvements qu’on lui connaît et malgré le tout pour le tout tenté par Gérard Houllier (entrées de Govou et Carew), peinait à trouver des solutions dans l’arrière-garde phocéenne. Une fois tout de même, Malouda et Wiltord combinaient magnifiquement pour une frappe de ce dernier au ras du cadre (76e). Trop peu malheureusement pour les Lyonnais pour espérer redresser la situation même si, à la dernière minute, Govou gâchait une occasion en or, seul à six mètres de Barthez (93e). Une nouvelle fois, Lyon échoue en quarts de finale d’une coupe et ne verra donc pas le Stade de France. Marseille, de son côté, peut rêver d’Europe.

    L'om Jouera Les Demi-Finales De La Coupe De France







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